Dans la version SaaS, l’utilisateur encode manuellement ses données au fur et à mesure de ses besoins.
D’autres situations sont envisageables :
- l’utilisateur dispose déjà d’une base de données bien structurée qu’il souhaite transférer dans 1stKYC.
Dans ce cas, il est possible d’envisager un import semi-automatique des données dans l’application.
Le mode de travail est qu’en général l’utilisateur nous fournit un fichier en format .csv (ou .xls) que nous injectons dans 1stKYC.
Les modalités de travail sont définies au cas par cas. - l’utilisateur se sert d’un « logiciel métier » où les données propres à son activité sont stockées et gérées.
Si ce logiciel métier ne gère pas le volet anti-blanchiment, il est tout à fait possible, via une des API qui ont été développées par nos soins, de synchroniser le logiciel métier avec 1stKYC de telle sorte que notre application vienne en appui du logiciel métier principal.C’est généralement un travail au cas par cas, en fonction du logiciel métier et des desiderata des utilisateurs.